Pour que la France fasse entendre sa voix en Europe

Chiffres clés

 

110 : c’est le nombre de mes interventions en hémicycle et en commission.

 

15 : Le nombre de pays européens que j’ai visité dans le cadre de mes fonctions.

 

23 : le nombre d’eurodéputés Renaissance qui arriveront au Parlement européen après le Brexit.

 

Depuis 2017, Emmanuel Macron a mis les valeurs européennes au cœur de l’ADN de notre majorité. Convaincu que seule une Europe unie est capable d’apporter une réponse satisfaisante aux grands défis de notre siècle, il a œuvré, avec le Gouvernement et l’ensemble de la majorité, à redonner à la France ce leadership européen, grâce à des propositions ambitieuses et des avancées concrètes sur la transition écologique, la convergence sociale, le défi migratoire ou la démocratie participative.

 

La voix de la France s’est d’abord fait entendre à travers un discours fondateur, celui de la Sorbonne, et une lettre adressée à tous les Européens. Une nouvelle vision pour notre Union s’est dessinée : celle d’une Europe qui protège tous nos concitoyens, à même de préparer des projets d’avenir pour faire entrer notre continent dans le XXIème siècle.

 

Cette ambition s’est déjà traduite par des avancées concrètes.

 

Sur les enjeux écologiques : réduction à 5 ans du délai d’interdiction de vente du glyphosate, contre 10 initialement prévus ; mise en place d’un Green Deal qui sera piloté par la nouvelle Commission européenne, obligation du respect des Accords de Paris pour les pays qui signeront avec l’UE des accords commerciaux.

 

Sur la protection des Européens : révision de la directive travail détaché qui protègera mieux l’ensemble des travailleurs en Europe, investissement massif dans la Défense européenne, afin de permettre à notre Union de se doter des outils nécessaires à son indépendance stratégique. L’Europe est aussi désormais capable de mieux se défendre sur le plan économique, avec un accord franco-allemand obtenu en 2018 pour créer un budget de la zone euro en 2021.

 

Enfin, l’Europe a connu un moment démocratique avec les élections européennes en mai 2019. Avec 23 députés européens (21 + 2 depuis le Brexit) et la création d’un nouveau groupe central au Parlement, nous allons porter ces sujets avec plus de force : Banque du climat, Directive éthique des entreprises, Pacte Simone Veil, réforme de la PAC, convergence sociale et fiscale, ou droit d’asile européen… Les Français ont fait le choix du progressisme en Europe et nous redoublerons d’effort pour être à la hauteur de leurs attentes.

 

 

 

Le fil de mon action

 

Depuis mon élection en 2017, j’ai toujours eu à cœur d’apporter plus d’Europe au sein de notre Assemblée. C’est pourquoi depuis deux ans je n’ai cessé de mettre l’accent sur les enjeux de l’UE auprès de mes collègues parlementaires comme auprès du Gouvernement : sur les enjeux migratoires, sur le risque des fausses informations ou encore sur l’avenir de la construction européenne.

 

En siégeant à la Commission des Affaires Européennes et à la Commission des Lois, j’ai pu travailler sur le texte redéfinissant le mode de scrutin pour les élections européennes, en créant un vote par liste nationale. Plus lisibles, les élections européennes ont vu la participation augmenter de 8% par rapport à 2014. J’ai également, à travers un rapport mené dans plusieurs pays européens dès 2017, plaidé pour une Défense Européenne, en rédigeant un rapport parlementaire.

 

Enfin, en tant que membre du Bureau Exécutif de LREM, j’ai pris part à l’organisation puis à la campagne des élections européennes, d’abord en tant que coordinateur d’une « task force » visant à unir les forces progressistes en Europe, aboutissant à la création de la force centrale au Parlement européen qu’est Renaissance, puis en tant que Porte-Parole de la liste de la majorité au cours de la campagne.

 

Enfin, conscient que les Français et plus largement les Européens attendent de leurs responsables politiques une réponse forte face aux enjeux migratoires, je me suis déplacé à plusieurs reprises en Italie, là où la crise des réfugiés a frappé le plus durement. J’y ai rencontré de nombreux interlocuteurs politiques, me suis rendu dans plusieurs centres d’accueil afin d’interpeller notre majorité à l’Assemblée sur l’importance de cette question.

 

Aujourd’hui encore, je reste pleinement mobilisé sur ces enjeux.

Pieyre-Alexandre Anglade

Permanence parlementaire

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Belgique

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